Balsamik fête ses un an. L’occasion pour la marque morpho* maligne d’en savoir plus sur les quinquas qui inspirent la marque, via son observatoire qui décrypte le comportement des femmes de 50 ans.
Un an après le phénomène quinqu’ado*, ce deuxième volet met en avant le regard que porte l’ensemble des femmes sur les quinquas d’aujourd’hui.
Une étude qui révèle de belles surprises sur nous les quinquas.
A 50 ans, on deviendrait même un modèle pour les plus jeunes !
Selon cette étude, les femmes plus jeunes nous envient notre maturité assumée. Et oui, on assume sans problème notre âge. Et la moitié de femmes interrogées estiment même ne s’être jamais senties aussi bien.
68 % des femmes entre 45 et 60 ans déclarant que la « maturité » est la plus belle période de la vie d’une femme !
Et plus on vieillit, plus on a confiance en soi. Si 63 % des 25/44 ans affirment avoir une bonne confiance en soi, ce chiffre passe à 73 % pour les 45/60 ans, et à 75 % pour les 61/70 ans.
De même que plus on avance en âge, plus on s’accepte telle qu’on est.
La maturité n’aurait donc pas de connotation négative ? Ce serait même pour beaucoup un « nouvel élan », un vent de liberté qui souffle sur nos vies bien remplies (sic).
On suscite l’envie !
Incroyable, mais on inspire même l’envie chez les plus jeunes femmes, qui admirent notre confiance en nous et notre acceptation de soi.
La quinqua est perçue comme plus équilibrée, plus autonome, plus libérée et même plus active que la trentenaire. Bref la quinqua a tout pour elle !
On s’habille mieux que les trentenaires !
Un chiffre nous a particulièrement étonné dans cette étude : 64 % des femmes estiment que les quinquas s’habillent mieux que les femmes de 30 ans, qu’elles s’occupent mieux d’elles et qu’elle se sentent mieux dans leur corps. Un constat également fait par les 25/34 ans, qui sont 83 % à penser que les femmes de 50 ans se sentent mieux dans leurs têtes, sont plus autonomes et libres qu’elles-mêmes.
Accomplie et sexy
Décidément, à 50 ans on est vraiment au top, puisque 91 % des femmes interrogées pensent qu’à partir de 45 ans, on est plus équilibrée et accomplie sur le plan personnel. 50 ans, pour plus de 80 % des sondées, c’est l’âge auquel on est la plus indépendante, sereine et épanouie. Et pour 81 % des femmes interrogées, l’expérience est une condition importante de l’épanouissement féminin.
Les plus jeunes ont du mal à appréhender ce futur statut de quinquas, qu’elles associent à un triple épanouissement : familial, personnel et professionnel.
On s’affirme sur tous les plans
50 ans serait, selon les sondées, l’âge idéal pour affirmer sa personnalité, faire le point sur soi-même, avoir plus de responsabilités professionnelles et affirmer son style vestimentaire.
Mais c’est aussi l’âge pour profiter de ses passions , de voyager ou de passer des meilleurs moments avec ses enfants.
Un modèle pour les autres ?
Toutes les femmes interrogées, quel que soit leur âge, sont d’accord : A 50 ans, la femme a atteint un âge « charnière », qui lui confère, en raison de son expérience de la vie et de ses attentes pour l’avenir, une grande légitimité dans la transmission du savoir.
Pour 86 % des femmes interrogées, la quinqua est un modèle pour les autres.
Bon, là où on prend quand même un petit coup de vieux, c’est qu’on est un modèle, mais pas forcément pour le côté le plus glamour ou fun.
En effet, l’ensemble des femmes interrogées iraient plutôt demander des conseils beauté et corps aux femmes de 35 ans. Par contre, pour des conseils d’élégance, c’est auprès de nous les quinquas, que 41 % des femmes demanderaient conseils. Et pour tout ce qui est pratique, on est très sollicitées, puisque l’ensemble des femmes nous demanderaient des conseils axés sur la vie quotidienne et la progression professionnelle.
Une source d’inspiration ?
Différentes des quinquas des années 80, les femmes de 50 ans d’aujourd’hui ont l’air plus jeunes et sont perçues comme plus belles et sexy.
Les plus jeunes envient leur indépendance d’esprit et leur bien-être.
Et oui, pour 49 % des femmes, la quinqua est une source d’inspiration pour la confiance en soi, et 50 % des femmes plus jeunes s’appuieraient sur nous pour mieux comprendre le sens de la vie !
La quinqua accomplie serait un modèle à suivre pour les plus jeunes.
Aux Boomeuses on ne peut qu’adhérer à cette étude qui dit qu’à 50 ans et plus, on est encore jeune, sexy, pleine de projets, d’envie, accomplie et sereine.
*quinqu’ados ; femmes qui vivent sereinement leur maturité, font de leur expérience une force tout en manifestant des envies dignes d’adolescentes (Observatoire Balsamik).
Balsamik, une marque morpho
Balsamik est né des constats suivants :
42 % des femmes de 45 ans et plus font du 46.
45 % des 54/65 ans sont en surpoids.
38 % des femmes ne trouvent pas de vêtements adaptés à leur morphologie.
L’idée de Balsamik est de proposer une mode facile à porter avec 100 % des vêtements dans des tailles allant du 38 au 48 et une offre de 85 % allant jusqu’au 54. Dès ce printemps, la marque pensera également aux petites avec des vêtements en taille 36.
C’est quoi une marque morpho ?
Il s’agit d’astuces qui permettent de répondre à des problématiques morphologiques grâce à un savoir faire spécifique.
Par exemple, une femme faisant un 38 au niveau de la taille mais un 40 au niveau des hanches trouvera un pantalon adapté à sa morphologie.
C’est aussi des vestes avec des bonnets différents, des doubles ou triples statures. Et pour les bottes souvent un problème pour les mollets forts, des doubles largeurs de mollet.
Balsamik
Arielle Granat
2 commentaires
C’est une bonne chose de proposer des vêtements adaptés et adaptables aux vrais corps des femmes, qui ne sont pas toutes des top-models ! On le sait, les quinquas et sexas (nous parlons pour nous…) représentent une cible, le marketing les avait un peu négligées jusqu’ici. Mais un reproche tout de même : Nous avons regardé un peu la mode Balsamik, ses mannequins sont de jeunes femmes longilignes…
Effectivement vous avez raison. C’est l’éternel problème et le pire c’est que les marques justifient leur modèles par le fait que les femmes ont un « double discours » et ne se reconnaissent pas dans des femmes de leur âge. Il y a donc encore des progrès à faire afin que les quinquas puissent être des modèles comme les autres et pas des exceptions marketing.